Le festival Cultur’éco du 14 au 16 octobre 2016 : conférences, débats, film, table ronde animeront cette 4ème édition.
Le thème de cette année : le changement climatique, point de départ d’une nouvelle économie ?
En organisant ce festival, nous souhaitons valoriser la culture économique et rendre accessible ses concepts.
Le programme du samedi 15 octobre, à la Salle Notre-Dame de Saint-Pierre d’Entremont.
– 14h30 : Produire mieux et consommer moins, une piste pour la transition énergétique, conférence avec Aurélien Boutaud.
– 16h : L’innovation : table ronde, échanges et débats sur ce thème.
– 18h: Le changement climatique dans les Alpes, conférence avec Christophe Chaix.
– 20h30 : « Qu’est-ce qu’on attend ? » film en avant-première de Marie-Monique Robin, réalisatrice des films «Le monde selon Monsanto» et «Sacrée croissance».
Adrien Dennefeld, musicien inventif et improvisateur volubile, accompagne le chef d’œuvre de Buster Keaton « Les trois âges » dans lequel on retrouve un trio amoureux (la jeune fille, le gros costaud et le jeune homme maladroit mais charmant) à 3 époques différentes : l’âge de pierre, le milieu de l’antiquité et le début du 20e siècle.
C’est évidemment Buster Keaton lui-même qui joue le jeune homme, inventeur de « gamelles » mémorables, dont il se sort toujours indemne avec la grâce habituelle de son personnage, cascadeur – malgré lui – au charme fou.
Adrien Dennefeld réussit le prodige de produire avec sa seule guitare électrique une bande son et des bruitages de cette comédie américaine qui fera le délice des spectateurs quel que soit leur âge !
Après ses succès à Saint Pierre de Chartreuse, Saint Laurent du Pont, Les Échelles et même jusqu’à Pérouges, la Compagnie QUASI-MODO de Saint Pierre d’Entremont propose une reprise de sa dernière création intitulée « NON, MAIS J’Y CROIS PAS ! »
Dédiée à notre copine Catherine qui veille sur nous d’un œil exigeant, cette pièce à sketchs haute en couleurs est construite autour de textes contemporains, signés de Jean-Michel Ribes, Georges Berdot (l’auteur de « Cendrillon »), Jean Yanne ou encore Pierre Dac.
Cette pièce burlesque basée sur le comique de l’absurde nous fait passer d’un huis clos contemporain à 2 personnages à un carnaval médiéval à 20 comédiens, en passant par un péplum en alexandrins et une scène de ménage totalement décalée. En clair, pas d’unité de temps, de lieu et de genre…seul fil conducteur, le rire.
Les projets culturels de la salle Notre Dame et de Saison Nomade s’unissent pour offrir aux publics un voyage interculturel d’envergure.
Saison Nomade via le Centre Social des pays du Guiers et l’AADEC vous propose un Festival exceptionnel dédié au jeune public de 4 ans à 107 ans, mais aussi à tous ceux qui ont le cœur et l’esprit ouvert et qui s’interrogent sur la question du métissage culturel. Emma Pauly jeune conseillère départementale savoyarde se joint à cette aventure avec ses 15 ans, ses mots et ses idées. Elle a choisi de se lancer avec Saison Nomade et l’AADEC dans l’aventure pour défendre l’idée d’une société interculturelle où l’on prône l’ouverture et la tolérance, la rencontre et l’altruisme.
Demandez le programme du festival !
La croissance, en particulier en France, est au cœur du débat actuel. Depuis la Révolution Industrielle, la création de richesses et son fondement capitaliste sont les bases de notre système économique.
Ce modèle a pourtant un coût social, sociétal et environnemental important, très critiqué ! Il pourrait pourtant se justifier s’il était source de bonheur et de bien-être ! Or, après les Trente Glorieuses, malgré une croissance raisonnable, tous les médias nous décrivent comme déprimés, atones et démotivés… pas très heureux en quelque sorte.
Festival Cultur’Eco / AADEC
Par le trio La Soustraction des Fleurs – Frédéric Aurier : violon, voix ; Jean-François Vrod : violon, voix ; Sylvain Lemêtre : zarb, voix ; Sam Mary : lumière, scénographie.
C’est avec un grand plaisir que les Nuits d’été accueillent la nouvelle création de ce trio d’exception, suite heureuse d’une fidélité partagée.
« Le propre du jardin c’est d’être à l’image de son jardinier !
Il existe deux types de jardiniers : les entreprenants et les contemplatifs. Nous sommes les deux, sans doute.
Le jardin est depuis bien longtemps propice à toutes les envolées imaginatives, poétiques, musicales ou amoureuses.
Dans le nôtre, nous avons planté ce que nous aimons : des situations, des mots et des sons. Au moment de la récolte, nous avons constaté avec joie qu’au milieu de tout cela, quelques herbes sauvages s’étaient invitées. Dans les jardins comme ailleurs, la diversité crée du goût. Voici venu le moment de partager ».
