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CIE D’AUCUNS DISENT

Carole est une jeune fille qui a grandi dans un village de montagne. Fille unique, elle a toujours été choyée par ses parents. Promise par son père à une carrière de championne de ski, Carole a d’autres rêves qui se situent bien loin du cadre soi-disant idyllique qui a bercé son enfance. Carole veut devenir actrice, et aujourd’hui elle quitte le cocon familial pour partir vivre à Paris.

Pour le père, ce choix est incompréhensible. Pour la mère, c’est la déchirure de la séparation, l’inquiétude face à l’éloignement, mais c’est aussi la projection d’une vie qu’elle-même n’a jamais eu le courage d’envisager.

A travers la petite histoire de ses trois personnages, ce texte aborde des thèmes qui nous sont chers, à savoir les rapports familiaux, la ruralité, les non-dits et les secrets … Le tout saupoudré de fantaisie et de rires.

LOUISE BOURIFFE

Personnage haut en couleurs, la faconde du midi dans les veines et le regard ouvert au monde, Louise Bouriffé a « des papillons dans l’abat-jour ». Elle est un peu « fadade » comme on dit dans le midi, ça veut dire qu’elle est habitée par les fées. Les fées de l’humour, de la générosité et de l’imaginaire réunies.

Entrer dans son univers déjanté, c’est poser un regard tendre et lucide sur une galerie de personnages plus truculents les uns que les autres. Sa fausse naïveté s’inspire de l’air du temps et nous invite à nous regarder entre conte humoristique et cartoon, burlesque et émotion.

Louise est partout dans son élément avec un sens inné du mime et une dynamique ébouriffante.  Un Don Camillo envoûté par Tex Avery !

THÉÂTRE DU CHÊNE NOIR

L’histoire bouleversante d’une femme d’exception, Asia Bibi, pakistanaise chrétienne, mère de trois enfants, accusée de blasphème et condamnée à mort pour avoir bu à l’eau d’une source à laquelle elle n’aurait pas du boire…

Elle passera plus de huit ans dans les geôles pakistanaises, avant d’être enfin acquitté et extradée au Canada en janvier dernier.

« Une pièce non pas contre quelque religion que ce soit, mais sur l’intolérance, le fanatisme et pour tout dire la bêtise qui peut se faire meurtrière. Un texte aussi sur une femme d’exception, car Asia Bibi, par son courage à affronter l’absurde, rejoint la longue liste de ces femmes qui, après avoir donné la vie, lui donnent un sens. » Gérard GELAS

CIE TRIO MINEUR

Il y a l’amour aveugle, l’amour fraternel et l’amour platonique.
Il y a l’amour inconditionnel, le parfait amour et l’amour fou.
Il y a aussi l’amour courtois et l’amour éternel.
Il y a l’amour vache. Voici donc « L’amour bœuf », présenté en tranches.

7 courtes pièces et 7 chansons interprétées par un homme, Lui, et une femme, Elle, aux prises l’un à l’autre.

Après entre autres, “2-3… grammes” (2009/2016) et “Esquisses” (2017/…), Bernard FALCONNET met une nouvelle fois en scène son propre texte.

Geneviève GEFFRAYE, déjà comédienne dans le précédent opus, est Elle. Bruno GARCIA, auteur-compositeur-interprète, est Lui.
Un homme, une femme…le couple n’est pas loin.

EMMA LA CLOWN ET GÉRARD MOREL QUI L’ACCOMPAGNE

Pour le titre du spectacle, on a hésité.

Au début, on voulait l’appeler : « Emma la clown & Gérard Morel font les jolis cœurs, les deux pieds dans le même sabot, travaillent du chapeau, sont comme cul et chemise, font dans la dentelle, coupent la poire en deux, sont comme deux ronds de flan, y regardent à deux fois, en font des caisses, poussent le bouchon, vont se faire chanter ramona, font amende honorable, font comme si de rien n’était, font chauffer la colle, font deux poids deux mesures, font les ânes pour avoir du son, font monter la mayo, font pencher la balance, font cause commune, font ce qu’ils peuvent, font comme chez eux, font flèche de tout bois et font sauter la baraque ».

Mais finalement pour la création, on a préféré : « Emma la clown & Gérard Morel ramènent leur fraise, coupent les cheveux en quatre et s’en tamponnent le coquillard ». Parce que c’est plus court.

Emma la clown & Gérard Morel (mai 2016)

(SPECTACLE INITIALEMENT PRÉVU LE VENDREDI 17 JANVIER ET REPORTÉ AU VENDREDI 20 AOÛT, SUITE À LA FERMETURE DES LIEUX CULTURELS)

MARION ROCH

Véritable diamant brut et concentré d’énergie à l’émotion palpable. Comme une lionne (elle en a la crinière), elle plante son regard dans le vôtre et vit, slame, scande, interprète de façon presque viscérale ses textes d’une intensité rare de cette voix rocailleuse…puissante.
Marion Roch est éducatrice spécialisée quand elle décide de se consacrer entièrement à la musique, assoiffée de raconter les entrelignes de nos vies et partageant avec son public des émotions merveilleusement quotidiennes, tendrement cruelles et délicatement militantes.
D’abord seule avec sa guitare puis en duo avec son acolyte contrebassiste Vladimir Torres, c’est en 2018 que se forme le trio atypique. Sa voix teintée de rocaille, le beatbox de DJ Menas, les sons hip hop et la contrebasse livrent une sonorité inattendue dans l’univers de la chanson.
Son nouvel album « Echos » s’apparente à une longue confidence sans fard d’une multitude de personnages. L’objectif de Marion, sa nécessité, c’est de diffuser de l’espoir quelles que soient les épreuves et les dures réalités de la vie. Elle revendique « le droit d’avoir des rêves plus grands que soi ».

(SPECTACLE INITIALEMENT PRÉVU LE VENDREDI 26 MARS ET REPORTÉ AU VENDREDI 25 JUIN, SUITE À LA FERMETURE DES LIEUX CULTURELS)

NICOLAS DEVORT

Icare, musicien et chanteur talentueux, rencontre vite le succès.
Mais le chemin de la réussite se craquelle et au fur et à mesure de son ascension, ses démons le rattrapent.
Comment garder les pieds sur terre lorsque l’on est porté aux nues ?
Dans ce conte musical sensible, drôle et tragique, une galerie de personnages haute en couleur prend vie sous nos yeux, à travers le corps et la voix de l’acteur, et porté par l’imaginaire du spectateur.
Dans La valse d’Icare, Nicolas Devort se prête encore une fois à son jeu préféré, celui d’interpréter à lui seul une multitude de personnages comme dans son spectacle Dans la peau de Cyrano.

(SPECTACLE INITIALEMENT PRÉVU LE VENDREDI 21 MAI ET REPORTÉ AU VENDREDI 17 DÉCEMBRE, SUITE À LA FERMETURE DES LIEUX CULTURELS)

CIE « LILI BÖM »

Née dans les années soixante, Poppy passe son dernier été en caravane et recycle tout un tas d’objets qui datent de son enfance. Le soir du solstice, une étrange créature se présente à sa porte et pénètre dans la caravane ; commence alors le rêve de Poppy…

Ces instantanés de vie nous invitent à nous interroger sur notre rapport à la mort, l’écologie, la solitude, le rêve…

Le rêve du coquelicot est un spectacle à voir en famille, qui pose un regard intime et enchanté sur le passage et la transformation de toute chose.

NICOLAS JULES

Certain que ce spectacle ne ressemble à aucun autre. Poésie giflante et rock caressant.

Roland Bourbon fouette ses tambours sauvages depuis plus de quinze ans au côté de son ami, autant dire qu’il a l’habitude de s’aventurer sur des chemins buissonniers.

Frédéric Jouhannet, nouveau venu, fait danser deux violons des pays martiens de l’est avec une jovialité rare.

Quant à Nicolas Jules, l’air de rien, toujours l’air de rien depuis plus de vingt cinq ans, tu vas te rendre compte en trouvant ça impensable que ses chansons parlent de toi.

CIE « TRÉTEAUX AUX 4 VENTS »

Vous pensez, nous devinons ! Notre job est de révéler au public des choses que vous pensiez pouvoir garder pour vous… Mais, rassurez-vous, rien d’inavouable ! Sauf, si c’est très drôle évidemment !

Voici une création inédite et unique en son genre : une pianiste virtuose, Myriam Frinault, démontre des dons de télépathie proches du phénomène ; Jean-Jacques Durand, metteur en scène et mentaliste hors pair, propose un spectacle incroyable, à la fois amusant et intelligent.

Ce divertissement en musique inspiré des plus grands mentalistes mondiaux propose une véritable compilation de ce qui se fait de mieux dans le genre, en mêlant intuition, hypnose, télépathie et beaucoup d’humour.

Et comme disaient Mir et Miroska : « S’il n’y a pas de truc c’est incroyable, et s’il y en a un, c’est encore plus extraordinaire ! »